La jeunesse, c’est dans la tête !
By Rédaction Beauté In Médecine esthétique Bordeaux, Rajeunissement du visage, Traitement des rides On 24 avril 2019
Oui mais … pas que !
Ce sujet nous ramène à l’un de nos articles précédents, qui tentait de définir la clientèle des cabinets d’esthétique médicale.
Quel type de femmes fait appel aux prestations esthétiques, souvent qualifiées «actes de rajeunissement » ?
Certain-e-s sont persuadé-e-s que seules les « cagoles » sont nos clientes. Peut-être faudrait-il préciser les caractéristiques de la cagole… mais deux principales font consensus : la (parfois relative) jeunesse, et la vulgarité.
De fait, les clientes de notre cabinet ne correspondent pas véritablement à ces traits, et ceux de nos confrères et consœurs vraisemblablement pas non plus.
La concordance entre la tête et le physique
Les responsabilités professionnelles
L’ensemble de nos clientes présente des niveaux intellectuels et professionnels soutenus. Professions libérales, professeures d’université ou femmes à la tête de postes à responsabilité… rarement leurs demandes ne peuvent être taxées de superficialité.
Certes le jeunisme ambiant, spécifiquement exercé sur le genre féminin, contribue largement à leurs « envies » d’actes à visées esthétiques. On pourrait bien sûr blâmer la démarche de se conformer à une attente, de se contraindre volontairement à des conventions extérieures non fondées.
Malgré tout, franchir le cap pour trouver un visage rafraîchi ou défatigué leur permet de se sentir mieux dans leur élément, et dans leur poste.
La pression est forte, dans un environnement concurrentiel (tous genres confondus) parfois violent. L’apparence (ou le défaut de) est ainsi l’une des inconnues résolue de l’équation.
La jeunesse de la tête, la vraie !
Enfin, reprenons notre titre, car c’est souvent le principal motif de consultation nos clientes. Le vieillissement physique est malheureusement parfois plus rapide que le vieillissement des neurones et des habitudes.
Nous vivons plus vieux, et dans de meilleures conditions. Nos soins, notre hygiène de vie, notre alimentation font que les cinquantenaires ou soixantenaires d’aujourd’hui correspondent aux quarantenaires d’il y a quelques générations. Peu d’individus se sentent âgés à 60 ans.
La vie amoureuse est aussi longue. On peut refaire sa vie à 50 ans sans choquer personne.
Il est alors important de faire coïncider l’apparence physique et le ressenti émotionnel ou intellectuel.
Nulle possibilité d’arborer un minois de jouvencelle à 55 ans, mais continuer à s’occuper de soi fait partie du bien-être et de la (ré)conciliation avec soi-même.
